CalendrierCalendrier  AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  Connexion  S'enregistrerS'enregistrer  
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez
 

 dance around this room (danica)

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: dance around this room (danica)   Mer 16 Déc - 19:27

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
danica bartl

feat gal gadot
âge quarante ans. // date & lieu de naissance trois septembre 1980 à zadar, croatie. // statut et orientation sexuelle célibataire, divorcée & hétérosexuelle. // statut financier et occupation moyen, joaillière & bijoutière. // dans la ville depuis vingt-cinq ans. // groupe autumn. //
mes recherches de liens

( nom du lien ) (féminin/masculin) // description du lien juste ici, description du lien juste ici. description du lien juste ici, description du lien juste ici.

( nom du lien ) (féminin/masculin) // description du lien juste ici, description du lien juste ici. description du lien juste ici, description du lien juste ici.

( nom du lien ) (féminin/masculin) // description du lien juste ici, description du lien juste ici. description du lien juste ici, description du lien juste ici.

( nom du lien ) (féminin/masculin) // description du lien juste ici, description du lien juste ici. description du lien juste ici, description du lien juste ici.

( nom du lien ) (féminin/masculin) // description du lien juste ici, description du lien juste ici. description du lien juste ici, description du lien juste ici.

( nom du lien ) (féminin/masculin) // description du lien juste ici, description du lien juste ici. description du lien juste ici, description du lien juste ici.
caractères, anecdotes & others une famille croate catholique typique. un papa très amoureux de la maman mais tout de même infidèle, au travail prenant, trop prenant. une mère au foyer, gérant à la fois ses enfants, les papiers de la maison, la santé de ses proches et coltinée aux tâches ménagères, des fausses amies constamment dans le jugement qui venaient tous les jeudis après-midi. enfin, c’était le cas. c’était le quotidien de la famille bartl jusqu’à ce que papa soit obligé de partir dans le nouveau continent pour son travail. quinze ans que tu avais quand tu as rejoint les états-unis. une nouvelle étape dans la fille d’une croate complètement banale aux mœurs et habitudes dignes des années cinquante. arrivée dans ce pays aux coutumes drastiquement différentes, tu as compris que tu ne voulais en rien reproduire le schéma de ta mère bien que tu la chérissais plus que tout au monde. toi, en arrivant à baltimore, tu as décidé de devenir ces femmes que tu voyais dans ces films américains légèrement clichés. ces femmes qui s’assument et qui peuvent vivre sans un homme ou, du moins, ne pas déprendre de lui. une rébellion a commencé contre ton père à tes quinze ans. d’abord parce que tu comprenais enfin la façon horrible dont il traitait ta mère mais aussi pour vous avoir fait quitter votre croatie adorée. toi qui détestes les changements. autant dire que cette fois-ci, le changement était virulent. vivre avec une culture différente et apprendre dans un temps limité une langue étrangère. la panoplie des professeurs particuliers, des cours linguistiques express. au lycée, tu es arrivée avec ton accent, ton prénom qu’aucun ne réussissait à prononcer correctement, ton nom venu d’ailleurs. peu avenante, des traits de visage au premier abord froid, à la limite d’être insociable, renfermée à souhait et quelque peu timide, sage, respectant énormément les règles et dans la peur de les enfreindre, rien n’a été propice à ce que tu te fasses des amis. cela n’avait aucune sorte d’importance à tes yeux. depuis ton plus jeune âge, en passant tous tes samedis chez ton grand-père, tu as admiré son travail dans son atelier. lui aussi joaillier, il t’a transmis cet amour pour ce monde rempli de pierres précieuses. et pour toi, tout était clair, pour réussir et t’épanouir, l’aide d’autrui n’est pas nécessaire voire inutile. carriériste, indépendante, travailleuse acharnée, déterminée quitte à arriver au bout de tes forces. à trente ans, à l’apogée de ta carrière, tu chercherais à tomber amoureuse, à éventuellement fonder une famille, à vivre une vie conventionnelle après avoir prouvé à ton père qu’une femme n’est pas que celle qui s’occupe d’un foyer.

bordel…
tout était si simple dans ta tête.
mais c’était avant de le rencontrer.
une rencontre clichée. digne de ces téléfilms du dimanche après-midi.

tu errais dans les immenses couloirs du lycée, paumée et stressée à l’idée d’arriver en retard à ton premier cours. il était là, à l’opposé de toi, bavardant et rigolant avec ses amis. un regard pourtant furtif sur lui et tu étais piégée. sous le charme, trop vite charmée pour que tu ne puisses y croire. kane. dans ton plan d’avenir, l’amour ou du moins l’idée de partager ta vie avec quelqu’un, c’était bien la dernière chose que tu prévoyais mais il a tout détruit. foutu en l’air tes plans. fait revoir ton organisation. plus rien n’était écrit. tout était à écrire avec lui. toi, cette fille assez ennuyante, toujours avec une liste de choses à faire à ne pas faillir, tu étais éprise de ton contraire en tout point. ce qui n’était pas qu’une mauvaise chose. moins coincée, légèrement plus débridée, il a été le seul à avoir le droit à ces trois petits mots que tu ne sors que difficilement : je t’aime. des mots qui ne sont venus qu’après la naissance de votre fille alors que vous étiez encore des gamins. un enfant jeune, trop jeune, à peine sorti du lycée, une vie pas même stable, encore une légère dépendance à vos parents, surtout les siens. largement plus ouverts, compatissants et indulgents que les tiens. garder cet enfant, la preuve d’une grande bêtise pour tes parents, spécialement pour ton père. ce qui ne l’était pas pour toi. c’était même l’inverse à tes yeux. garder et prendre la décision de garder ta vie était une preuve de grande maturité. un statut de maman que tu as dû assumer tôt. par rapport à tes plans, trop tôt mais sans aucun regret. jamais aucun. et ça même si l’université et essayer d’être une mère présente et aimante pour son enfant était une épreuve digne des jeux olympiques, tu n’étais pas du genre à te décourager aux premières difficultés et tu as pu compter sur la ribambelle de diaz qui t’ont tous immédiatement adopté dans leur famille. assez surprenant quand on sait que tu n’es en aucun cas aussi chaleureuse. une famille qui est devenue officiellement ta belle-famille quelques mois après la naissance votre fils, votre deuxième et dernier enfant.

mariée, mère de deux enfants formidables, fraîchement engagée dans une bijouterie à l’excellente réputation, devenue finalement indépendante malgré des débuts compliqués. pour toi, c’était bon. la trentaine n’était qu’une vague idée, encore lointaine, tu avais ta vie parfaite, ta vie idéale. aucune ombre au tableau. du moins, ça l’était jusqu’à ce qu’hollywood revienne sur le tapis. ce rêve de gosse pour kane. une ambition à laquelle tu n’as voulu apporter un quelconque frein, après tout, aurais-tu réussie ? très peu probable. cette envie de devenir acteur, de travailler dans cet univers si sélectif a détruit tout ce que vous aviez construit. une carrière qui devenait de plus en plus oppressante jusqu’à devenir trop. trop pesante pour ton cœur, pour ta patience. à le voir loin, n’assumant que bien trop rarement son rôle de père, tu te voyais devenir ta mère. tu te voyais être l’équivalent moderne de ce qu’était mère, en ajoutant ton travail prenant à tout ça et donc encore plus de responsabilités sur tes épaules. devoir supporter les larmes de tes enfants et les sécher à chaque départ de leur père, cacher les tiennes pour ne pas causer plus de peine et de tort à kane, un trop-plein que ton cœur ne pouvait plus supporter.

divorcée, mère de deux enfants brisés, bijoutière et joaillière passionnée, indépendante mais une confiance en soi biaisée. la trentaine bien atteinte et ton plan de la vie parfaite est bien derrière toi. en divorçant, tu as provoqué l'indignation de ta famille. particulièrement de ton père qui commençait tout juste à s’habituer à la vie que tu menais. un choc émotionnel pour toi dur à vivre que tu as camouflé en surprotégeant tes enfants, en te mettant corps et âme dans ton travail. pleurer, te lamenter, geindre sur tes malheurs, non. à ça, tu préfères tout enfouir, prétendre, faire semblant, faire bonne figure. comme ta mère avait l’habitude de faire. un camouflage, une protection, une carapace dans le seul et unique but d’éviter d’ouvrir ton cœur à quelqu’un, de devoir parler de ce que tu ressens. une mauvaise habitude, tenace que seul kane avait réussi à briser mais qu’il a renforcé en choisissant sa carrière. triste ironie. sous les conseils du peu de personnes que tu pouvais connaître, une fois officiellement divorcée, sans la moindre obligation maritale, tu as essayé. tu as tenté. tu as échoué dans l’idée de retomber amoureuse. un échec représentatif de ton amour pour lui. un rejet constant des autres hommes pour la simple et bonne raison qu’il n’était pas lui. lui que tu as vu se remarier deux fois alors que de ton côté, avec ces hommes, tu n’as jamais franchi de la rencontre avec tes enfants. tes enfants qui n’ont pas hésité à être ces épaules sur lesquelles pleurer, ce qui t’a apporté un baume au cœur. en plus d’avoir l’appui de la famille diaz, toujours prête à t’aider envers et contre tous.

quarante ans, vivant dans un appartement trop grand pour toi seule. l’idée d’un animal de compagnie qui te trotte dans la tête. une carrière dont tu es fière. une vie professionnelle à son apogée pour une vie privée dans les abysses. n’ayant plus que tes enfants et une famille qui, au final, légalement, n’est plus la tienne depuis presque dix ans. condamnée à repousser n’importe quel homme t’approchant pour éviter de souffrir, de lâcher plus de larmes que tu n’as pu lâcher ou même parfois celles que tu ne peux empêcher, qui coulent le long de tes joues sans que tu ne puisses rien contrôler. les bartl, si tu en as retrouvé le nom, tu n’as jamais été plus distante de ta famille qui voit encore en horreur ton divorce, un divorce faisant honte à leur réputation dans le coin. tu vois ta mère tout mettre en œuvre pour te faire rencontrer des hommes qu’elle a spécialement choisi pour toi. ces hommes qu’elle pense parfaits pour toi. dignes de toi. compatibles à ta personnalité si « difficile à comprendre » d’après elle. ce dont tu assistes sans réellement avoir ton mot à dire. tu fais un effort. tu acceptes toujours le fameux premier rendez-vous, tu te présentes comme étant cette femme souriante et joyeuse que ta mère veut que tu sois pour eux. toutefois, tu es très rapidement honnête en disant que tu ne veux rien. tu ne veux pas de relations amoureuses. ce que tes prétendants remarquent rapidement lorsque la conversation tourne autour de la seule et même personne. encore et toujours kane. comme un disque mit en boucle, en répétition, comme coincé. ce que tu es. coincée dans le passé, à ressasser les bons comme les douloureux moments de ce qui est derrière toi, à tout jamais. dans l’incapacité la plus totale à tourner la page comme si quelque chose t’en empêchait.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   Mer 16 Déc - 19:27

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

( m a s c u l i n s )
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //

( f é m i n i n s)
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
prénom, nom écrire juste ici une description du lien //
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   Mer 16 Déc - 19:29

à vous. dance around this room (danica) 4067916923
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   Mer 16 Déc - 20:20

coucou I love you
je n'sais pas trop quoi ( dance around this room (danica) 307410497 ) mais je veux bien un lien. ils ont presque le même âge, bon, leurs métiers respectifs n'ont pas grand chose à voir, mais ça empêche pas de chercher.. dance around this room (danica) 884013967
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   Jeu 17 Déc - 22:41

Hellow you, je veux absolument un lien du tonnerre pour nos bombasses !!!
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   Sam 19 Déc - 12:48

I love you I love you I love you
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   Sam 19 Déc - 13:38

hello miss, je ne pouvais pas passer à côté de la belle pour venir quémander un lien...
je viens un peu en touriste je l'avoue, mais est-ce que tu rechercherais quelque chose de particulier pour commencer?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
★ baltimore's fireflies ★


dance around this room (danica) Empty
Sujet: Re: dance around this room (danica)   

Revenir en haut Aller en bas
 
dance around this room (danica)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» bend the rules (danica)
» MORE ROOM -- ajouter un lieu.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
strangers things :: the underground :: les archives-
Sauter vers: